Qu'est-ce que l'hypnose?
Il faut savoir que le terme « hypnose » vient du grec (hupnoein) signifiant « endormir », cependant les recherches en neurosciences ont permis de comprendre que l’hypnose n’a rien à voir avec le sommeil, mais plutôt à un état de lâcher-prise cérébral permettant une hypersuggestibilité.
C’est donc un état modifié de la conscience et de détente qui permet d’ouvrir certaines portes à l’intérieur du cerveau (commissures inter-hémisphériques) et ainsi faire réagir des zones du cerveau hors de la volonté. Elle peut être dirigée ou induite par l'individu lui-même. En fait, il n'y a que de l'auto-hypnose dirigée, car le phénomène est généré par le sujet. L'idée d'être soumis à la volonté d'une autre personne n'est qu'un mythe véhiculé par les hypnotiseurs de spectacles et les magiciens.
L'application thérapeutique et médicale de l'hypnose n'est pas récente. En fait, dans les civilisations anciennes, égyptienne, grecques, mayas, aztèques, etc., il était d’usage d’utiliser des techniques de mise en transe comme outils de guérison. Dans la société occidentale, c'est seulement vers le XVIIIe siècle que l'on a expérimenté le potentiel thérapeutique de l'hypnose. C’'est James Braid (1837-1910) qui a été le premier à reconnaître l’usage médical de l’hypnose. Après sa mort, les neurologues Hyppolite Bernheim et Jean Charcot ont poursuit l’expérimentation. En 1955, la British Medical Society reconnaissait à l'hypnose un rôle de procédure médicale. L'American Medical Association faisait de même quelques années plus tard. Maintenant suite aux recherches en neuroscience, la médecine intégrative considère l'hypnose comme un outil thérapeutique et une stratégie-santé qui peut grandement améliorer la qualité de la vie des patients.
Même si l'hypnose a été connue à cause des spectacles de foire, il ne faudrait pas croire à un pouvoir magique, mais simplement à l'utilisation de certaines facultés de notre cerveau. Son utilité est reconnue pour plusieurs problèmes comportementaux, attitudes, habitudes, et réactions corporelles. Aujourd'hui, plusieurs hôpitaux utilisent l'hypnothérapie et l'hypnose médicale comme une approche complémentaire à certains traitements comme le cancer, l'infertilité, la gestion de la douleur, la gestion du stress, les toxicomanies, les traumatismes, la dépression, etc.
Il faut cependant expliquer que l'hypnose ne constitue pas une médecine ni une psychothérapie, car sa pratique n'est pas réglementée et elle n'est pas soutenue par une théorie unique. L'hypnose est de plus en plus considérée comme un amplificateur et un accélérateur de thérapie, car c'est un moyen d'accéder aux ressources inconscientes de la personne, de contourner des blocages inconscients et de permettre l'émergence de nouveaux comportements plus créatifs et plus positif pour la vie de la personne. Son utilisation est en lien avec « la réappropriation du pouvoir d'agir ».
* L'hypnose ne devrait être pratiquée que par une personne possédant un diplôme universitaire dans les sciences de la santé comme le travail social, la psychologie, la médecine ou par un autre professionnel de la santé, car un diplôme d'hypnose n'a aucune valeur en soi.
La vigilance, le discernement et le bon jugement du (de la) client(e) sont nécessaires...
C’est donc un état modifié de la conscience et de détente qui permet d’ouvrir certaines portes à l’intérieur du cerveau (commissures inter-hémisphériques) et ainsi faire réagir des zones du cerveau hors de la volonté. Elle peut être dirigée ou induite par l'individu lui-même. En fait, il n'y a que de l'auto-hypnose dirigée, car le phénomène est généré par le sujet. L'idée d'être soumis à la volonté d'une autre personne n'est qu'un mythe véhiculé par les hypnotiseurs de spectacles et les magiciens.
L'application thérapeutique et médicale de l'hypnose n'est pas récente. En fait, dans les civilisations anciennes, égyptienne, grecques, mayas, aztèques, etc., il était d’usage d’utiliser des techniques de mise en transe comme outils de guérison. Dans la société occidentale, c'est seulement vers le XVIIIe siècle que l'on a expérimenté le potentiel thérapeutique de l'hypnose. C’'est James Braid (1837-1910) qui a été le premier à reconnaître l’usage médical de l’hypnose. Après sa mort, les neurologues Hyppolite Bernheim et Jean Charcot ont poursuit l’expérimentation. En 1955, la British Medical Society reconnaissait à l'hypnose un rôle de procédure médicale. L'American Medical Association faisait de même quelques années plus tard. Maintenant suite aux recherches en neuroscience, la médecine intégrative considère l'hypnose comme un outil thérapeutique et une stratégie-santé qui peut grandement améliorer la qualité de la vie des patients.
Même si l'hypnose a été connue à cause des spectacles de foire, il ne faudrait pas croire à un pouvoir magique, mais simplement à l'utilisation de certaines facultés de notre cerveau. Son utilité est reconnue pour plusieurs problèmes comportementaux, attitudes, habitudes, et réactions corporelles. Aujourd'hui, plusieurs hôpitaux utilisent l'hypnothérapie et l'hypnose médicale comme une approche complémentaire à certains traitements comme le cancer, l'infertilité, la gestion de la douleur, la gestion du stress, les toxicomanies, les traumatismes, la dépression, etc.
Il faut cependant expliquer que l'hypnose ne constitue pas une médecine ni une psychothérapie, car sa pratique n'est pas réglementée et elle n'est pas soutenue par une théorie unique. L'hypnose est de plus en plus considérée comme un amplificateur et un accélérateur de thérapie, car c'est un moyen d'accéder aux ressources inconscientes de la personne, de contourner des blocages inconscients et de permettre l'émergence de nouveaux comportements plus créatifs et plus positif pour la vie de la personne. Son utilisation est en lien avec « la réappropriation du pouvoir d'agir ».
* L'hypnose ne devrait être pratiquée que par une personne possédant un diplôme universitaire dans les sciences de la santé comme le travail social, la psychologie, la médecine ou par un autre professionnel de la santé, car un diplôme d'hypnose n'a aucune valeur en soi.
La vigilance, le discernement et le bon jugement du (de la) client(e) sont nécessaires...
L'hypnose de spectacle
L'histoire de l'hypnose dépasse largement celle de la psychothérapie car, en plus d’être une pratique millénaire, elle n’a jamais eu de frontières claires. On retrouve donc des techniques hypnotiques dans la santé, dans les psychothérapies, dans les pratiques méditatives, dans l'occultisme et, bien sûr, dans les spectacles de magie. C’est sûrement pourquoi elle a toujours été une source de controverses. Les controverses relatives à l’hypnose dépassent la dimension des thérapeutiques officielles et traditionnelles, car elles sont également intrinsèques à l’histoire même de l’hypnose.
En fait, deux courants de pensée se sont toujours opposés : le pouvoir de la suggestion et le magnétisme animal. Dans les deux cas, on observait une transe qui permettait d’augmenter le champ de conscience et ainsi de guérir certains maux. Le précurseur du magnétisme animal était le médecin allemand Franz-Anton Mesmer qui postulait l’existence d’un fluide magnétique universel dont on pouvait faire une utilisation thérapeutique. Il introduisit, en 1773, l’expression du «magnétisme animal», en opposition avec le magnétisme des métaux. Son ambition était de donner une interprétation rationnelle et scientifique aux phénomènes de la transe. Ces recherches sont tombées dans l’oubli, car il a été prouvé que ce n’était pas un phénomène physique, mais psychique. Ce n’est qu’après sa mort que le magnétisme a fait partie des spectacles de magie et de foire. Au fil du temps, l’hypnose est devenue plus connue que le magnétisme et cela s’est traduit par une augmentation des techniques hypnotiques dans les spectacles.
Bien que l’hypnose de spectacle soit toujours populaire, il ne faut pas croire qu’elle constitue un divertissement. En fait, l’hypnose de spectacle comporte de nombreux dangers et n’est aucunement réglementée. L’hypnose constitue une porte sur l’esprit inconscient d’un individu et un outil puissant de programmation psychique. Avant de laisser son cerveau entre les mains d’un «show man», ne faudrait-il pas qu’il ait au préalable de solides compétences en psychologie et en thérapeutique? Saviez-vous qu’environ 10% des personnes qui ont assisté à un spectacle d’hypnose se sont sentis inconfortables et une large proportion de ces personnes ont eu besoin de thérapies afin de retrouver leur fonctionnement normal?
Par mes propos, vous réaliserez aisément que je ne suis pas un partisan de l’hypnose de foire et que je mets en garde les gens contre de telles pratiques sociales…
L'histoire de l'hypnose dépasse largement celle de la psychothérapie car, en plus d’être une pratique millénaire, elle n’a jamais eu de frontières claires. On retrouve donc des techniques hypnotiques dans la santé, dans les psychothérapies, dans les pratiques méditatives, dans l'occultisme et, bien sûr, dans les spectacles de magie. C’est sûrement pourquoi elle a toujours été une source de controverses. Les controverses relatives à l’hypnose dépassent la dimension des thérapeutiques officielles et traditionnelles, car elles sont également intrinsèques à l’histoire même de l’hypnose.
En fait, deux courants de pensée se sont toujours opposés : le pouvoir de la suggestion et le magnétisme animal. Dans les deux cas, on observait une transe qui permettait d’augmenter le champ de conscience et ainsi de guérir certains maux. Le précurseur du magnétisme animal était le médecin allemand Franz-Anton Mesmer qui postulait l’existence d’un fluide magnétique universel dont on pouvait faire une utilisation thérapeutique. Il introduisit, en 1773, l’expression du «magnétisme animal», en opposition avec le magnétisme des métaux. Son ambition était de donner une interprétation rationnelle et scientifique aux phénomènes de la transe. Ces recherches sont tombées dans l’oubli, car il a été prouvé que ce n’était pas un phénomène physique, mais psychique. Ce n’est qu’après sa mort que le magnétisme a fait partie des spectacles de magie et de foire. Au fil du temps, l’hypnose est devenue plus connue que le magnétisme et cela s’est traduit par une augmentation des techniques hypnotiques dans les spectacles.
Bien que l’hypnose de spectacle soit toujours populaire, il ne faut pas croire qu’elle constitue un divertissement. En fait, l’hypnose de spectacle comporte de nombreux dangers et n’est aucunement réglementée. L’hypnose constitue une porte sur l’esprit inconscient d’un individu et un outil puissant de programmation psychique. Avant de laisser son cerveau entre les mains d’un «show man», ne faudrait-il pas qu’il ait au préalable de solides compétences en psychologie et en thérapeutique? Saviez-vous qu’environ 10% des personnes qui ont assisté à un spectacle d’hypnose se sont sentis inconfortables et une large proportion de ces personnes ont eu besoin de thérapies afin de retrouver leur fonctionnement normal?
Par mes propos, vous réaliserez aisément que je ne suis pas un partisan de l’hypnose de foire et que je mets en garde les gens contre de telles pratiques sociales…
L'hypnose clinique
L’hypnose n’est pas un spectacle ni un jeu, mais un outil thérapeutique permettant, grâce à des états modifiés de la conscience, de faire réagir des zones cérébrales fréquemment inutilisées. Cette méthode d'utilisation de la consciente et d'un état anti-stress permettant d'augmenter le pouvoir d'agir et ainsi aider les individus et des groupes afin d'améliorer le bien-être, à développer leurs habiletés, favoriser le développement optimal de la personne en réciprocité avec son milieu. Bien que ce processus clinique soit pratiqué en médecine, il se rapproche plus de la philosophie globale du service social. Le caractère éclectique de cette thérapeutique doit impérativement s'insérer dans l'amalgame des valeurs fondamentales du service social qui sont : le respect, la confidentialité, l’éthique, l'intégrité, la compétence, l’autodétermination et la priorité des intérêts des clients assurées par un ordre professionnel reconnu.
L’hypnothérapeute doit impérativement intervenir à l'intérieur d'une approche curative, mais aussi psychoéducative. Cette pratique nécessite donc une très grande connaissance des mécanismes psycho-thérapeutiques, du stress et de la santé mentale, du rétablissement, des pathologies reliées au travail, de la toxicomanie, de la neurobiologie, de la sociologie, des déterminants physiques et sociaux de la santé, de la complexité des problèmes sociaux, des ressources du milieu, des croyances et religions et de la spiritualité laïque. De plus, il doit pouvoir être capable de comprendre l'individu globalement dans tous les aspects de sa vie et de ce qui fait de lui un être UNIQUE. Ancré dans la conception du pouvoir d'agir, l'hypnothérapeute doit développer une habileté à aider l'individu à puiser en lui toutes les forces nécessaires à ses changements. Il se doit donc d'être un agent de changement intérieur et extérieur dans le respect des choix et des décisions des clients. L’efficacité de cet état naturel dépend donc de la connaissance et de la compétence du thérapeute et constitue une approche thérapeutique généraliste qui ne devrait être pratiquée que par des professionnels de la santé et des services sociaux qui possèdent une solide formation universitaire. De nos jours, le rôle joué par les travailleurs sociaux-hypnothérapeutes s'avère important et essentiel, car le contexte socio-politico-économique génère de plus en plus de stress, d'insécurité, d’épuisement et de tensions.
L’hypnose n’est pas un spectacle ni un jeu, mais un outil thérapeutique permettant, grâce à des états modifiés de la conscience, de faire réagir des zones cérébrales fréquemment inutilisées. Cette méthode d'utilisation de la consciente et d'un état anti-stress permettant d'augmenter le pouvoir d'agir et ainsi aider les individus et des groupes afin d'améliorer le bien-être, à développer leurs habiletés, favoriser le développement optimal de la personne en réciprocité avec son milieu. Bien que ce processus clinique soit pratiqué en médecine, il se rapproche plus de la philosophie globale du service social. Le caractère éclectique de cette thérapeutique doit impérativement s'insérer dans l'amalgame des valeurs fondamentales du service social qui sont : le respect, la confidentialité, l’éthique, l'intégrité, la compétence, l’autodétermination et la priorité des intérêts des clients assurées par un ordre professionnel reconnu.
L’hypnothérapeute doit impérativement intervenir à l'intérieur d'une approche curative, mais aussi psychoéducative. Cette pratique nécessite donc une très grande connaissance des mécanismes psycho-thérapeutiques, du stress et de la santé mentale, du rétablissement, des pathologies reliées au travail, de la toxicomanie, de la neurobiologie, de la sociologie, des déterminants physiques et sociaux de la santé, de la complexité des problèmes sociaux, des ressources du milieu, des croyances et religions et de la spiritualité laïque. De plus, il doit pouvoir être capable de comprendre l'individu globalement dans tous les aspects de sa vie et de ce qui fait de lui un être UNIQUE. Ancré dans la conception du pouvoir d'agir, l'hypnothérapeute doit développer une habileté à aider l'individu à puiser en lui toutes les forces nécessaires à ses changements. Il se doit donc d'être un agent de changement intérieur et extérieur dans le respect des choix et des décisions des clients. L’efficacité de cet état naturel dépend donc de la connaissance et de la compétence du thérapeute et constitue une approche thérapeutique généraliste qui ne devrait être pratiquée que par des professionnels de la santé et des services sociaux qui possèdent une solide formation universitaire. De nos jours, le rôle joué par les travailleurs sociaux-hypnothérapeutes s'avère important et essentiel, car le contexte socio-politico-économique génère de plus en plus de stress, d'insécurité, d’épuisement et de tensions.
L'hypnose médicale ou l'hypno-santé
L’état d’hypnose constitue un état modifié de conscience différent de celui produit par la relaxation ou la méditation. Elle engendre des modifications physico-chimiques au niveau de certains neurotransmetteurs et les effets significatifs sont observés par les IRM (Techniques d'imagerie cérébrale) au niveau de la réduction de l'activité du système nerveux sympathique, de l'activité du lobe préfrontal, du cortex cingulaire antérieur ainsi que du système limbique. Cet état peut être léger ou hypnagogique ou plus profond. En fait, l’hypnose offre au patient et au thérapeute un accès à l’esprit inconscient du patient. Ainsi, elle sert à occuper l’esprit critique afin de libérer les forces inconscientes qui sont sous-jacentes. Les suggestions hypnotiques peuvent donc faire intervenir des fonctions de l'esprit et de la conscience ayant des répercussions sur les émotions, le psychisme, les habitudes, les attitudes, mais aussi sur certaines fonctions du métabolisme.
L'hypno-santé ou l'hypnose médicale ne constitue pas un acte médical, mais l'utilisation de l'hypnose clinique comme une approche complémentaire à certaines maladies. C'est donc l'hypnose pratiquée en clinique par un médecin ou un professionnel de la santé physique ou mentale (travailleur social, psychologue, infirmier(ère), etc.) qui détient un diplôme universitaire dans les sciences de la santé. Certains hôpitaux et cliniques autorisent maintenant la pratique de l'hypnose mais elle est plus largement utilisée dans la pratique autonome et les cabinets privés. L'hypnose peut également servir en médecine ou en dentisterie pour compléter ou se substituer à l'anesthésie par sédatifs, mais également préparer un patient à une intervention chirurgicale ou un examen médical anxiogène.
De plus, le clinicien doit avoir une expertise spécifique dans les différentes pathologies relatives à la santé physique ou mentale. Cette pratique est recommandée par la nouvelle médecine intégrative qui considère qu'il faut axer l'intervention sur la guérison plutôt que sur la maladie et cela peu importe le moyen utilisé car l'important restera toujours le résultat sur la santé du patient...
L’état d’hypnose constitue un état modifié de conscience différent de celui produit par la relaxation ou la méditation. Elle engendre des modifications physico-chimiques au niveau de certains neurotransmetteurs et les effets significatifs sont observés par les IRM (Techniques d'imagerie cérébrale) au niveau de la réduction de l'activité du système nerveux sympathique, de l'activité du lobe préfrontal, du cortex cingulaire antérieur ainsi que du système limbique. Cet état peut être léger ou hypnagogique ou plus profond. En fait, l’hypnose offre au patient et au thérapeute un accès à l’esprit inconscient du patient. Ainsi, elle sert à occuper l’esprit critique afin de libérer les forces inconscientes qui sont sous-jacentes. Les suggestions hypnotiques peuvent donc faire intervenir des fonctions de l'esprit et de la conscience ayant des répercussions sur les émotions, le psychisme, les habitudes, les attitudes, mais aussi sur certaines fonctions du métabolisme.
L'hypno-santé ou l'hypnose médicale ne constitue pas un acte médical, mais l'utilisation de l'hypnose clinique comme une approche complémentaire à certaines maladies. C'est donc l'hypnose pratiquée en clinique par un médecin ou un professionnel de la santé physique ou mentale (travailleur social, psychologue, infirmier(ère), etc.) qui détient un diplôme universitaire dans les sciences de la santé. Certains hôpitaux et cliniques autorisent maintenant la pratique de l'hypnose mais elle est plus largement utilisée dans la pratique autonome et les cabinets privés. L'hypnose peut également servir en médecine ou en dentisterie pour compléter ou se substituer à l'anesthésie par sédatifs, mais également préparer un patient à une intervention chirurgicale ou un examen médical anxiogène.
De plus, le clinicien doit avoir une expertise spécifique dans les différentes pathologies relatives à la santé physique ou mentale. Cette pratique est recommandée par la nouvelle médecine intégrative qui considère qu'il faut axer l'intervention sur la guérison plutôt que sur la maladie et cela peu importe le moyen utilisé car l'important restera toujours le résultat sur la santé du patient...

L'hypnopédagogie
Bien que la science se soit depuis longtemps intéressée à l'hypnose, l'avènement des techniques d'imagerie cérébrale a permis un progrès des connaissances sur le fonctionnement du cerveau dans des conditions spécifiques. La science de la pédagogie s’est également intéressée à l’utilisation de l’hypnose comme un outil facilitant l’apprentissage.
En fait, il est démontré qu’il est possible d’absorber et de mémoriser de nombreuses informations induites en hypnose mais également que l’apprentissage est améliorée pendant les heures qui suivent une séance d’hypnose. L’hypno-pédagogie constitue donc l’utilisation de l’hypnose à des fins pédagogique comme l’apprentissage des langues ou l’amélioration des performances académiques chez les enfants et les adultes.
Certaines recherches en neuroscience laissent présager que l’hypnose augmenterait la créativité et pourrait permettre de muscler le cerveau et ainsi éviter des pertes cognitives précoces.
J’ai mis au point une méthode d’apprentissage de l’anglais et de l’espagnol par hypnose.
Bientôt disponible cours d'anglais par hypnose
Apprenez plus de 12,000 mots, adjectifs et verbes sans mémorisation
et sans concentration particulière.
Bien que la science se soit depuis longtemps intéressée à l'hypnose, l'avènement des techniques d'imagerie cérébrale a permis un progrès des connaissances sur le fonctionnement du cerveau dans des conditions spécifiques. La science de la pédagogie s’est également intéressée à l’utilisation de l’hypnose comme un outil facilitant l’apprentissage.
En fait, il est démontré qu’il est possible d’absorber et de mémoriser de nombreuses informations induites en hypnose mais également que l’apprentissage est améliorée pendant les heures qui suivent une séance d’hypnose. L’hypno-pédagogie constitue donc l’utilisation de l’hypnose à des fins pédagogique comme l’apprentissage des langues ou l’amélioration des performances académiques chez les enfants et les adultes.
Certaines recherches en neuroscience laissent présager que l’hypnose augmenterait la créativité et pourrait permettre de muscler le cerveau et ainsi éviter des pertes cognitives précoces.
J’ai mis au point une méthode d’apprentissage de l’anglais et de l’espagnol par hypnose.
Bientôt disponible cours d'anglais par hypnose
Apprenez plus de 12,000 mots, adjectifs et verbes sans mémorisation
et sans concentration particulière.
L'hypno-performance
Je ne vous apprends rien si je vous dis que nous sommes dans une société de performance. Cependant, saviez-vous que l’hypnose est utilisée depuis plus de 50 ans dans le domaine sportif afin d’optimiser les performances?
L’hypno-performance constitue donc l’utilisation de l’hypnose à des fins d’optimisation de son potentiel tant au niveau sportif, académique, personnel ou professionnel. L’hypnose permet donc de modifier les attitudes et les habitudes conscientes et inconscientes afin d’augmenter votre potentiel de vente, votre relation avec l'argent, vos capacités d’expression, votre gestion du temps, de développer des stratégies de réussite, d'éliminer des blocages et des résistances au succès, de vous permettre de développer la confiance dans votre potentiel et d'intensifier votre efficacité professionnelle.
Il permet également de mieux faire face aux différents stress et facteurs anxiogènes liés au travail. De plus, l’hypnothérapie permet de réduire le facteur de risque de maladies physiques et mentales comme l’épuisement professionnel, l’hyper-vigilance et la fatigue chronique liées au travail et au stress de performance.
Je ne vous apprends rien si je vous dis que nous sommes dans une société de performance. Cependant, saviez-vous que l’hypnose est utilisée depuis plus de 50 ans dans le domaine sportif afin d’optimiser les performances?
L’hypno-performance constitue donc l’utilisation de l’hypnose à des fins d’optimisation de son potentiel tant au niveau sportif, académique, personnel ou professionnel. L’hypnose permet donc de modifier les attitudes et les habitudes conscientes et inconscientes afin d’augmenter votre potentiel de vente, votre relation avec l'argent, vos capacités d’expression, votre gestion du temps, de développer des stratégies de réussite, d'éliminer des blocages et des résistances au succès, de vous permettre de développer la confiance dans votre potentiel et d'intensifier votre efficacité professionnelle.
Il permet également de mieux faire face aux différents stress et facteurs anxiogènes liés au travail. De plus, l’hypnothérapie permet de réduire le facteur de risque de maladies physiques et mentales comme l’épuisement professionnel, l’hyper-vigilance et la fatigue chronique liées au travail et au stress de performance.
L'hypnose spirituelle
Depuis fort longtemps, on a associé aux songes et aux rêves des propriétés d’inspiration et d’intuition. La science ne peut pas expliquer clairement ce qu’est un rêve… Le chamanisme parle de voyage, la psychologie parle de modification des états de la conscience et la biologie de modifications biochimiques à l’intérieur du cerveau. Mais une question reste toujours d’actualité : est-il possible d'établir des synapses avec des neurones d'une autre dimension? La physique quantique laisse présager que oui.
Ce qui est certain, c'est qu'au niveau de l'impression il arrive parfois qu'un rêve nous donne une drôle d'impression comme le fait de rêver que l'on rêve ou que l'on vole dans ses rêves. Plusieurs philosophies abordent cette réalité subjective sous l'angle de l'expérience mystique. Cette expérience s'effectue presque exclusivement dans un état modifié de la conscience comme un moment de prière, de méditation, d'hypnose ou de rêve. Dans mon expérience clinique, j'ai appris à ne pas analyser ce genre de phénomène d'une façon rationnelle, mais au niveau de la subjectivité de l'impression laissée par l'expérience. Il n'est donc pas important de savoir si c'est l'imagination ou autre chose mais de s'attarder à l'impression et à ce niveau l'expérience fait un sens pour la personne qui la vit.
L’hypnose spirituelle fait donc partie des différentes techniques d’exploration des consciences internes de l’individu. D’un point de vue spirituel, l’hypnose est vue comme un instrument permettant de voyager ou d’explorer l’âme humaine, les souvenirs et engrammes des vies antérieurs, d’éveiller son potentiel intérieur, de puiser en soi des forces et des énergies issues de son âme, de développer sa capacité de clairvoyance et sa sagesse intérieure, de voyager hors du corps, de contacter son ange gardien et de vivre des expériences spirituelle.
L'hypnose spirituelle
Depuis fort longtemps, on a associé aux songes et aux rêves des propriétés d’inspiration et d’intuition. La science ne peut pas expliquer clairement ce qu’est un rêve… Le chamanisme parle de voyage, la psychologie parle de modification des états de la conscience et la biologie de modifications biochimiques à l’intérieur du cerveau. Mais une question reste toujours d’actualité : est-il possible d'établir des synapses avec des neurones d'une autre dimension? La physique quantique laisse présager que oui.
Ce qui est certain, c'est qu'au niveau de l'impression il arrive parfois qu'un rêve nous donne une drôle d'impression comme le fait de rêver que l'on rêve ou que l'on vole dans ses rêves. Plusieurs philosophies abordent cette réalité subjective sous l'angle de l'expérience mystique. Cette expérience s'effectue presque exclusivement dans un état modifié de la conscience comme un moment de prière, de méditation, d'hypnose ou de rêve. Dans mon expérience clinique, j'ai appris à ne pas analyser ce genre de phénomène d'une façon rationnelle, mais au niveau de la subjectivité de l'impression laissée par l'expérience. Il n'est donc pas important de savoir si c'est l'imagination ou autre chose mais de s'attarder à l'impression et à ce niveau l'expérience fait un sens pour la personne qui la vit.
L’hypnose spirituelle fait donc partie des différentes techniques d’exploration des consciences internes de l’individu. D’un point de vue spirituel, l’hypnose est vue comme un instrument permettant de voyager ou d’explorer l’âme humaine, les souvenirs et engrammes des vies antérieurs, d’éveiller son potentiel intérieur, de puiser en soi des forces et des énergies issues de son âme, de développer sa capacité de clairvoyance et sa sagesse intérieure, de voyager hors du corps, de contacter son ange gardien et de vivre des expériences spirituelle.
L'auto-hypnose
L’auto-hypnose constitue une technique d’utilisation de l’hypnose autogène et autogérée donc de se placer par soi-même, dans un état modifié de conscience. Je qualifie l’auto-hypnose d’expérience mnémonique. En fait, c’est généralement l’intervention de la mémoire kinesthésique qui recrée l’état ressenti lors d’une séance dirigée. Par exemple, si vous avez reçu fréquemment des massages corporels, votre mémoire a enregistré les sensations psychologiques et physiologiques relatives à cet état. Ainsi, en se replaçant dans le souvenir de l’expérience, il est possible de ressentir les mêmes sensations et ainsi faire réagir son corps et son esprit. Il en est de même avec l'hypnose. Vous réaliserez que les souvenirs possèdent un grand pouvoir de reproduire certains effets bénéfiques ou néfastes tant au niveau du corps que de l’esprit.
Bien qu’il y ait beaucoup de cours d’auto-hypnose, je crois que la meilleure méthode restera toujours de recréer une expérience guidée plutôt que de rechercher un état inconnu. C’est la raison pour laquelle je préconise toujours une séance dite «ouverte» guidée par un professionnel servant de canevas aux séances ultérieures.
L’auto-hypnose fait donc partie d’une thérapie autogérée afin d’améliorer sa santé, développer ses aptitudes et sa capacité à réussir, d’intensifier la confiance en soi ou de modifier ses habitudes et attitudes. C’est un outil puissant de développement personnel et de bien-être qui doit être utilisée judicieusement.
L’auto-hypnose constitue une technique d’utilisation de l’hypnose autogène et autogérée donc de se placer par soi-même, dans un état modifié de conscience. Je qualifie l’auto-hypnose d’expérience mnémonique. En fait, c’est généralement l’intervention de la mémoire kinesthésique qui recrée l’état ressenti lors d’une séance dirigée. Par exemple, si vous avez reçu fréquemment des massages corporels, votre mémoire a enregistré les sensations psychologiques et physiologiques relatives à cet état. Ainsi, en se replaçant dans le souvenir de l’expérience, il est possible de ressentir les mêmes sensations et ainsi faire réagir son corps et son esprit. Il en est de même avec l'hypnose. Vous réaliserez que les souvenirs possèdent un grand pouvoir de reproduire certains effets bénéfiques ou néfastes tant au niveau du corps que de l’esprit.
Bien qu’il y ait beaucoup de cours d’auto-hypnose, je crois que la meilleure méthode restera toujours de recréer une expérience guidée plutôt que de rechercher un état inconnu. C’est la raison pour laquelle je préconise toujours une séance dite «ouverte» guidée par un professionnel servant de canevas aux séances ultérieures.
L’auto-hypnose fait donc partie d’une thérapie autogérée afin d’améliorer sa santé, développer ses aptitudes et sa capacité à réussir, d’intensifier la confiance en soi ou de modifier ses habitudes et attitudes. C’est un outil puissant de développement personnel et de bien-être qui doit être utilisée judicieusement.