L'hypnose permet de restaurer ou de développer
la confiance en soi
la confiance en soi
La confiance en soi est l'ingrédient primordial de la réussite !
Au contraire de la croyance populaire, la confiance en soi et l'estime de soi ne sont pas synonymes. En fait, ce sont deux notions complémentaires et interdépendantes qui ne sont pas innées.
On ne naît pas avec la confiance en soi,
on la développe dès le début de sa vie intra-utérine...
L'estime de soi
Depuis sa plus tendre enfance, l'humain a eu besoin de se forger une image de lui-même. Pour y parvenir, l'enfant compare ses parents, sa maison, son milieu, sa famille, ses vêtements, etc. C'est également un processus d'auto-évaluation qui s'avère être un processus cognitif très complexe car nos yeux sont tournés vers l'extérieur. Il est donc plus facile de percevoir les autres que soi-même. L'estime de soi constitue donc l'évaluation relative à soi-même ou plutôt l'impression subjective de sa valeur intrinsèque. Cette perception est fréquemment biaisée, car le cerveau humain se sert du reflet de l'opinion d'autrui afin de se forger cette perception identitaire. Elle est également relative à l'évaluation des «succès» et des «échecs» qui sont, eux-mêmes, relatifs aux attentes et aux perceptions personnelles. Plus l'individu place la barre haute et plus il éprouvera l'impression d'échouer; ce qui tintera négativement l'estime de lui-même. L'estime de soi constitue donc une création psychique mais également un processus interactif avec l'environnement. En fait, plus l'environnement répond positivement à travers des paroles positives et des gratifications et plus la construction identitaire de l'estime sera positive. Mais elle restera toujours tributaire de la perception personnelle et de l'écart entre le «moi idéal» (ce que je crois devoir être) et le «Moi perçu» (ce que je crois être). Chez les homme, l'estime de soi est fréquemment en lien avec l'impression de performance et de réussite tandis que chez les femmes, elle est fréquemment en lien avec l'impression d'être aimée et la réussite de ses relations.
La confiance en soi
La confiance en soi constitue une résultante positive de l'estime de soi-même. C'est donc le «sentiment de se sentir capable» de réaliser une tâche ou un projet. Elle peut s'appuyer sur l'expérience et peut être réaliste mais peut également s'avérer très subjective et basée sur des impressions inconscientes. La confiance en soi désactive les mécanismes de défenses qui entravent l'élan vers la réussite... Ainsi, le cerveau anticipe une réussite plutôt qu'un échec. La confiance en soi n'est pas le signe de compétence mais de la croyance d'être capable. Elle ne peut s'acheter à travers une diplomation et peut disparaître subitement. Il est maintenant prouvé que la confiance en soi constitue un déterminant de la santé physique, mentale, du bonheur et de la réussite personnelle et sociale...
La compétence
La compétence s'oppose à la confiance en soi du fait qu'elle n'est pas le sentiment d'être capable mais bien les compétences nécessaires pour y parvenir. Malheureusement, bien plus que les compétences, la confiance en soi est plus prédicateur de réussite... Ainsi, la compétence est un «fait» tandis que la confiance constitue une «perception». Plusieurs génies peuvent posséder toutes les plus grandes compétences du monde et éprouver le sentiment d'être complètement nuls... Les compétences d'un individu ne peuvent jamais régresser. On peut même affirmer que nous avons tous une zone de compétences et d'incompétence. L'évolution serait donc l'audace de sortir de sa zone de compétence afin d'aller vers l'incompétence d'un nouvel apprentissage. La seule façon de rester compétent consiste à ne rien faire de nouveau et de se retrancher dans ses acquis. Cependant, dans un monde en évolution et en changement constant, il est impératif de développer de nouvelles compétences. Je pourrais dire que la compétence serait la somme cristallisée de la connaissance + l'expérience. Elle se démarque de la connaissance du fait que l'individu peut la recycler. Il n'existe donc pas de compétence globale et une personne ne peut être «compétent» ou «incompétent», mais simplement placée dans une situation où son acquis de compétence est suffisant ou insuffisant... Bien que la compétence ne constitue pas de la confiance, il s'avère que la reconnaissance de sa compétence se transforme fréquemment en confiance en soi.
On ne naît pas avec la confiance en soi,
on la développe dès le début de sa vie intra-utérine...
L'estime de soi
Depuis sa plus tendre enfance, l'humain a eu besoin de se forger une image de lui-même. Pour y parvenir, l'enfant compare ses parents, sa maison, son milieu, sa famille, ses vêtements, etc. C'est également un processus d'auto-évaluation qui s'avère être un processus cognitif très complexe car nos yeux sont tournés vers l'extérieur. Il est donc plus facile de percevoir les autres que soi-même. L'estime de soi constitue donc l'évaluation relative à soi-même ou plutôt l'impression subjective de sa valeur intrinsèque. Cette perception est fréquemment biaisée, car le cerveau humain se sert du reflet de l'opinion d'autrui afin de se forger cette perception identitaire. Elle est également relative à l'évaluation des «succès» et des «échecs» qui sont, eux-mêmes, relatifs aux attentes et aux perceptions personnelles. Plus l'individu place la barre haute et plus il éprouvera l'impression d'échouer; ce qui tintera négativement l'estime de lui-même. L'estime de soi constitue donc une création psychique mais également un processus interactif avec l'environnement. En fait, plus l'environnement répond positivement à travers des paroles positives et des gratifications et plus la construction identitaire de l'estime sera positive. Mais elle restera toujours tributaire de la perception personnelle et de l'écart entre le «moi idéal» (ce que je crois devoir être) et le «Moi perçu» (ce que je crois être). Chez les homme, l'estime de soi est fréquemment en lien avec l'impression de performance et de réussite tandis que chez les femmes, elle est fréquemment en lien avec l'impression d'être aimée et la réussite de ses relations.
La confiance en soi
La confiance en soi constitue une résultante positive de l'estime de soi-même. C'est donc le «sentiment de se sentir capable» de réaliser une tâche ou un projet. Elle peut s'appuyer sur l'expérience et peut être réaliste mais peut également s'avérer très subjective et basée sur des impressions inconscientes. La confiance en soi désactive les mécanismes de défenses qui entravent l'élan vers la réussite... Ainsi, le cerveau anticipe une réussite plutôt qu'un échec. La confiance en soi n'est pas le signe de compétence mais de la croyance d'être capable. Elle ne peut s'acheter à travers une diplomation et peut disparaître subitement. Il est maintenant prouvé que la confiance en soi constitue un déterminant de la santé physique, mentale, du bonheur et de la réussite personnelle et sociale...
La compétence
La compétence s'oppose à la confiance en soi du fait qu'elle n'est pas le sentiment d'être capable mais bien les compétences nécessaires pour y parvenir. Malheureusement, bien plus que les compétences, la confiance en soi est plus prédicateur de réussite... Ainsi, la compétence est un «fait» tandis que la confiance constitue une «perception». Plusieurs génies peuvent posséder toutes les plus grandes compétences du monde et éprouver le sentiment d'être complètement nuls... Les compétences d'un individu ne peuvent jamais régresser. On peut même affirmer que nous avons tous une zone de compétences et d'incompétence. L'évolution serait donc l'audace de sortir de sa zone de compétence afin d'aller vers l'incompétence d'un nouvel apprentissage. La seule façon de rester compétent consiste à ne rien faire de nouveau et de se retrancher dans ses acquis. Cependant, dans un monde en évolution et en changement constant, il est impératif de développer de nouvelles compétences. Je pourrais dire que la compétence serait la somme cristallisée de la connaissance + l'expérience. Elle se démarque de la connaissance du fait que l'individu peut la recycler. Il n'existe donc pas de compétence globale et une personne ne peut être «compétent» ou «incompétent», mais simplement placée dans une situation où son acquis de compétence est suffisant ou insuffisant... Bien que la compétence ne constitue pas de la confiance, il s'avère que la reconnaissance de sa compétence se transforme fréquemment en confiance en soi.
L'hypnose peut vous aider à intensifier ou à rebâtir
la confiance en vous-même !